Wake up my love Before we go, |
That this picture of us
Isabelle – 2010 |
Wake up my love Before we go, |
That this picture of us
Isabelle – 2010 |
Il se trouve que je t’aime, et je n’y suis pour rien
Si les mots sont les mêmes, dans ma bouche ou ma main
Explosive d’essence, tu m’as joué au matin
La partition des sens, sur un air enfantin
Un unique voyage, un aller ou l’on court
Sans nul autre rivage, que d’y croire toujours
Max – 2011
Stop all the clocks, cut off the telephone,
Prevent the dog from barking with a juicy bone,
Silence the pianos and with muffled drum
Bring out the coffin, let the mourners come.
Let aeroplanes circle moaning overhead
Scribbling on the sky the message He Is Dead,
Put crepe bows round the white necks of the public doves,
Let the traffic policemen wear black cotton gloves.
He was my North, my South, my East and West,
My working week and my Sunday rest,
My noon, my midnight, my talk, my song;
I thought that love would last for ever: I was wrong.
The stars are not wanted now: put out every one;
Pack up the moon and dismantle the sun;
Pour away the ocean and sweep up the wood.
For nothing now can ever come to any good.
Wystan Hugh Auden (1907 – 1973)
First Time i met you was in Paris Town Chorus: Chorus
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Chorus: We tried once more to stick the pieces Chorus Hoping for love to make us happy
Max – 2011 |
Meet you downstairs in the bar and heard Cause you’re my fella, my guy I cheated myself Upstairs in bed, with my ex boy, Run out to meet ya chips and pita |
I cheated myself Sweet reunion, jamaica and spain Then you notice little carpet burn I cheated myself like I knew I would |
Depuis le temps que je patiente Quelqu’un a touché le verrou Dans les premiers moments j’ai cru Ils ont refermé derrière moi Est-ce que ce monde est sérieux? Andalousie je me souviens Je vais l’attrapper, lui et son chapeau Est-ce que ce monde est sérieux? |
J’en ai poursuivi des fantômes Ils sortent d’où ces acrobates Sentir le sable sous ma tête Je les entends rire comme je râle Est-ce que ce monde est sérieux? Est-ce que ce monde est sérieux?… Si, si hombre, hombre
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Can’t you see that it’s just raining? Baby, you hardly even notice And we could pretend it all the time But just maybe, laka ukulele And we could pretend it all the time Ain’t no need, ain’t no need, mmm, mmm, |
The telephone is singing Baby, you hardly even notice And we could pretend it all the time
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Erik Satie – 1866 / 1925
Should i stay, or should i go ?
Should i come back another day ?
Tandis qu’au confins du néant Au loin le râle des damnés [REFRAIN] A l’heure où sous l’écorce A l’heure où sous l’écorce Fils de Cham |
L’empire comme frappé de stupeur Ouvert le bal des damnés REFRAIN Il ne s’agit pas messieurs Changer le monde REFRAIN |
Si fin’ et si claire est sa lign’ et son teint
Cuivré, des yeux gris-vert, une bouch’ au fusain.
Sans sourir’ ell’ se donn’ au public à demi;
D’un seul geste, m abandonn’ un regard indecis.
Son sourcil, a la plume, graci’eusement dessiné,
Fièrement allume un visage a rever
Onctueus’ creatur’ aux cheveux embaumés
Dont la peau en murmurs souffl’ des mots insensés
Ô beauté, noir’ et or, que je n ose approcher
Que tes yeux de berbère se souviennent à jamais
du matin de l’hiver, ou l’on s’est rencontrés
et j’emporte avec moi ces moments à aimer.
Ô beauté, noir’ et or, que je n ose approcher
Que tes yeux de berbère se souviennent à jamais
du matin de l’hiver, ou l’on s’est rencontrés
et j’emporte avec moi ces moments à aimer……
Max
¿Qué te importa que te ame, Fui la ilusión de tu vida Si las cosas que uno quiere Con qué tristeza miramos Maria Teresa Vera |
Traduction (très littérale, désolé…): Que t’importe mon amour J’ai été le soleil de ta vie Si les choses que l’on désire Avec quelle tristesse on regarde |
Je crains pas ça tellment la mort de mes entrailles Je crains pas ça tellment où va la bouquinaille Je crains pas ça tellment La nuit se coule douce Je crains pas cette nuit Je crains pas le sommeil |
Je crains bien le malheur le deuil et la souffrance Mais je crains pas tellment ce lugubre imbécile Un jour je chanterai Ulysse ou bien Achille Aujourd’hui bien lassé par l’heure qui s’enroule Queneau – Je crains pas ça tellment |
I heard there was a secret chord hallelujah… well your faith was strong but you needed proof hallelujah… baby i’ve been here before hallelujah… |
well there was a time when you let me know well, maybe there’s a god above hallelujah…
Leonard Cohen – 1984
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J’ai, dans ma gapette, un cheveu
De toi, de toi,
Que je sors les jours de fêtes
Et puis les jours de grand froid.
Refrain:
J’ai des billes dans mon sac,
J’ai des plumes sur mes ailes,
Pour partir à l’attaque,
Je dois me passer d’elle.
J’ai, dans ma chambrette, un dessin
De toi, de toi,
Que je regarde en cachette,
Car je n’y résiste pas.
Refrain
J’ai au fond du coeur,
Un souvenir de toi,
Qui me remplit de chaleur,
Que le temps n’efface pas.
J’ai, dans mon placard, une lettre,
De toi, de toi,
Que, lorsque j’en ai marre,
Je relis du bout des doigts.
Refrain
J’ai, dans ma guitare, une photo,
De toi, de toi,
Que j’entends chanter le soir
plein de douceur dans la voix.
Refrain
J’ai au fond du coeur,
Un souvenir de toi,
Qui me remplit de chaleur,
Que le temps n’efface pas.
(bis)
Max – 2009
Make me, happy together
Love me, no matter the weather
Blow me, just like a feather
Hate me, when it is over
You make me so…
Lazy….
The way you look at me
Is far too hot to see
That you’re my fantasy
Mon tout, mon sun, ma vie
Make me, happy together
Love me, no matter the weather
Blow me, just like a feather
Hate me, when it is over
Max
J’ai écrit les paroles de « You’re my baby » il y a déjà un bon moment. En fait j’ai retrouvé sur un vieux morceau de papier déchiré les quelques phrases qui compose le thème, et la mélodie que j’avais trouvé alors m’est revenue tout de suite en tête. Je me suis dit alors qu’elle devait rester un peu dans le crâne et que paroles et mélodies méritaient d’être réutilisées pour une chanson. J’avais justement une section rythmique sur laquelle je cherchais des paroles et une mélodie, je les ai « collé » dessus.
We’re gonna say, you’re my baby
Today you’re gonna stay with me
Please let me come back to my wife
Sure it was the best day of my life
but i got to go, got to go now…
Leave me alone just one more time,
my heart needs a bone, and all will be fine.
We’re gonna say, you’re my baby
Today you’re gonna stay with me
Please let me come back to my wife
Sure it was the best day of my life
but i got to go, got to go now…
Max – 2007
Un tube interplanétaire, repris de nombreuses fois par un nombre uncalculable d’artistes. Merci à Lolo pour sa jolie voix !
People say I’m the life of the party So take a good look at my face Since you left me if you see me with another girl |
So take a good look at my face I need you, need you So take a good look at my face The Miracles |
Voilà une interprétation de l’étude Opus 24 numero 12 de chopin.
C’est très loin d’être sans faute, mais je ne suis pas sur de pouvoir faire mieux pour le moment, alors je le publie quand meme ! 🙂
Pour résumer, c’est un morceau que je trouve assez difficile. Son tempo est rapide, alors que chaque note doit être audible et l’ensemble doit rester clair, en évitant les fausses notes. Pour être honnete il est très difficile pour moi de ne pas faire d’erreurs en le jouant, tant il me demande de concentration et de constance tout au long de l’execution. Il ne faut flêchir a aucun moment, au risque de perdre les pédales complètement. Travailler ce morceau a au moins eu le mérite de me montrer clairement les limites de ma technique : il me faudrait beaucoup plus de temps pour espérer pouvoir le passer sans faute ! Une prochaine fois peut etre 😉
J.S.Bach 1685 – 1750
Si, par hasard Les jean-foutre et les gens probes Si, par hasard |
Bien sûr, si l’on ne se fonde Si, par hasard Georges Brassens |
Chanson de Paul McCartney en solo, sortie en 2005 sur l’album, Chaos and Creation in the Backyard. Dernière chanson du live au New Morning le 16 juin 2008.
I’ve been waitin on the other side, for your friends to leave I’ve been sliding down a slippery slope, I’ve been climbing You never need to worry about me, I’ll be fine on my own I’ve been waitin till the danger past, I don’t know |
So tell me what I wanna know Someone else can worry about me I’ve been waiting on the other side I’ve been waiting on the other side Paul McCartney |
Maxwell’s Silver Hammer est un tube des Beatles enregistré entre juillet et aout 1969 sur l’album Abbey Road. Version en Live au New Morning.
Joan was quizzical; studied pataphysical science in the home.
Late nights all alone with a test tube. Oh, oh, oh, oh.
Maxwell Edison, majoring in medicine, calls her on the phone.
« Can I take you out to the pictures, Joa, oa, oa, oan? »
But as she’s getting ready to go, a knock comes on the door…
Chorus
Bang! Bang! Maxwell’s silver hammer
Came down upon her head.
Clang! Clang! Maxwell’s silver hammer
Made sure that she was dead.
Back in school again Maxwell plays the fool again. Teacher gets annoyed.
Wishing to avoid an unpleasant sce, e, e, ene,
She tells Max to stay when the class has gone away, so he waits behind
Writing fifty times « I must not be so, o, o, o.. »
But when she turns her back on the boy, he creeps up from behind…
Chorus
P. C. Thirty-one said, « We caught a dirty one. » Maxwell stands alone
Painting testimonial pictures. Oh, oh, oh, oh.
Rose and Valerie, screaming from the gallery say he must go free
The judge does not agree and he tells them so, o, o, o.
But as the words are leaving his lips, a noise comes from behind…
Bang! Bang! Maxwell’s silver hammer came down upon his head.
Clang! Clang! Maxwell’s silver hammer made sure that he was dead.
The Beatles
Buonanotte, buonanotte amore mio, Il granturco nei campi è maturo Buonanotte, buonanotte fiorellino, |
Ora un raggio di sole si è fermato Buonanotte, buonanotte monetina, Francesco De Gregori -Rimmel 1972 |
Dieu sait qu’je n’ai pas le fond méchant Les vivants croient qu’je n’ai pas d’remords Et plus j’lâch’ la bride à mon émoi |
J’ai beau m’dir’ que rien n’est éternel Ni vu ni connu, brav’ mort adieu ! Georges Brassens |
La cébèbre chanson de Georges Brassens reprise en reggae. Merci à David Orduz Perez pour son accompagnement au violon.
Il pleuvait fort sur la grand-route
Ell’ cheminait sans parapluie
J’en avais un, volé, sans doute
Le matin même à un ami
Courant alors à sa rescousse
Je lui propose un peu d’abri
En séchant l’eau de sa frimousse
D’un air très doux, ell’ m’a dit » oui »
Un p’tit coin d’parapluie
Contre un coin d’paradis
Elle avait quelque chos’ d’un ange
Un p’tit coin d’paradis
Contre un coin d’parapluie
Je n’perdais pas au chang’, pardi
Chemin faisant, que ce fut tendre
D’ouïr à deux le chant joli
Que l’eau du ciel faisait entendre
Sur le toit de mon parapluie
J’aurais voulu, comme au déluge
Voir sans arrêt tomber la pluie
Pour la garder, sous mon refuge
Quarante jours, quarante nuits Un p’tit coin d’parapluie
Contre un coin d’paradis
Elle avait quelque chos’ d’un ange
Un p’tit coin d’paradis
Contre un coin d’parapluie
Je n’perdais pas au chang’, pardi
Mais bêtement, même en orage
Les routes vont vers des pays
Bientôt le sien fit un barrage
A l’horizon de ma folie
Il a fallu qu’elle me quitte
Après m’avoir dit grand merci
Et je l’ai vue toute petite
Partir gaiement vers mon oubli
Un p’tit coin d’parapluie
Contre un coin d’paradis
Elle avait quelque chos’ d’un ange
Un p’tit coin d’paradis
Contre un coin d’parapluie
Je n’perdais pas au chang’, pardi
Georges Brassens
Ca fait deux s’maines que j’suis arrivé : j’connais rien ici.
Partout ça bouge dans la « calle », c’est vraiment l’euphorie.
Petit à petit, on découvre les passages et les lieux,
Qui mènent au bout d’la nuit ou jusque dans les cieux.
Ska Ska Ska Ska y Ska de Madrid (bis)
En face de ma maison, y’a l’armée du salut,
Et moi toute la journée j’vois défiler les gens perdus.
Alors j’me perds aussi entre les gens et les souvn’irs
Y’en a plus d’un qui trotte, mais ils veulent pas sortir.
Ska Ska Ska Ska y Ska de Madrid (bis)
Enfin je prends ma guitare et je fais du Ska,
C’est bon pour le moral et puis ça n’vieilli pas.
Enfin je prends ma guitare et je fais du Ska,
C’est bon pour le moral et puis ça n’vieilli pas.
Ska Ska Ska Ska y Ska de Madrid (bis)
…bronca…
Max
Coup de gueule sur une relation amoureuse terminée.
[audio:http://www.maxizone.fr/wp-content/uploads/2009/10/Quelque-chose-de-bon.mp3]Tu es perspicace, mais je suis pas con.
Il faudra qu’elle se passe de mes doux ronrons.
Il faut qu’elle m’enlace dans ses bras mignons.
Il faut qu’elle m’embrasse, une fois pour de bon.
Il faut qu’elle me fasse quelque chose de bon.
Il faut qu’elle me fasse quelque chose de bon.
Refrain:
Il faut qu’elle me fasse quelque chose de bon. (bis)
Complètement à la masse, ça tourne pas rond.
T’es qu’une vieille limace, un vieux cornichon.
C’est vraiment dégeulasse, c’est foutu pour de bon.
Tu m’as laissé sur place je suis en perdition.
Refrain
J’ai remis mes vieilles godasses, mon vieux pantalon
Je n’laisserai aucune trace, ni aucun sillon
J’ai bien perdu la face, mais pas la raison
J’irai refaire surface vers d’autres horizons
Refrain
Max